Le coronavirus d’un point de vue énergétique et karmique

Abordons tout d’abord le point de vue énergétique

 

La pensée est une énergie créatrice.  Elle créée d’abord dans l’invisible avant de se matérialiser dans notre monde visible.

 

Tout est énergie ! Ce n’est pas moi qui le dit mais Albert Einstein.  Notre monde visible ou matériel n’est en somme que de l’énergie qui s’est densifiée.

 

Nous avons donc le pouvoir de créer notre réalité.  Certains l’appellerons ‘la loi de l’attraction’, d’autres ‘le champs des possibles’ et d’autres encore peut-être autrement.

 

Mais que se passe-t-il quand plusieurs personnes ont les mêmes pensées ?

 

Quand plusieurs personnes pensent de la même façon, une sorte de masse énergétique se crée que l’on appelle ‘égrégore’.

 

Et comme tout est équilibre dans l’univers, il existe les égrégores vertueux et les égrégores néfastes. 

 

Nous créons un égrégore vertueux lorsque nos pensées et émotions sont positives, empreintes d’amour, de joie, de tolérance,…

 

A l’inverse, nous créons un égrégore néfaste lorsque nos pensées et émotions sont négatives, empreintes de peur, de stress, de colère, …

 

Vous commencez à voir là où je veux en venir ?

 

Le coronavirus, d’un point de vue énergétique, est un gigantesque égrégore néfaste auquel nous donnons tous notre énergie.

 

Il se nourrit de nos peurs, de nos angoisses, de nos colères, …

 

Pas étonnant dès lors que nous restons englués dans cette crise sanitaire. 

 

Comment faire pour en sortir ?

 

En créant un autre égrégore, sans peur, sans colère, sans stress, en orientant tous nos pensées vers ce que nous souhaitons voir se manifester dans nos vies.

 

Nos pensées créeront ainsi petit à petit une autre réalité.

 

Je vous invite donc à surveiller vos pensées, à sortir de la peur et de la colère ou de toute autre émotion néfaste, et à orienter vos pensées vers ce que vous souhaitez.

 

A chaque fois que vous vous surprenez à avoir peur ou à être en colère, pensez au monde dans lequel vous souhaitez vivre.

 

Et au plus nous serons à rêver une autre réalité, au plus nos pensées auront d’impact et de puissance.

 

Voyons maintenant le point de vue karmique

 

Permettez-moi de vous rappeler qu’il n’y a pas de hasard !

 

Que vient faire les lois karmiques dans cette crise me direz-vous…

 

Bien sûr, pour comprendre ce qui suit, il est nécessaire de savoir comment fonctionnent les lois karmiques.

 

Tout d’abord, qu’est-ce que le karma ?

 

Le karma parle de notre histoire éternelle.  C’est la somme de nos pensées et de nos actions bonnes et moins bonnes à travers toutes nos vies.

 

Notre objectif, en tant qu’âme, étant d’atteindre l’équilibre entre notre karma positif et notre karma négatif afin de sortir du cercle de réincarnation.

 

L’incarnation a donc pour but, à travers nos défis et expériences, quels qu’ils soient, d’équilibrer notre karma en devenant une meilleure version de nous-mêmes.

 

Comment fonctionnent les lois karmiques ?

 

D’un point de vue individuel, notre âme, au moment de s’incarner, choisit, entres-autres, les aspects de son karma qu’elle souhaite équilibrer.

 

Pour cela, elle a sélectionné certains événements et défis qui vont lui permettre de comprendre ce qu’elle n’a pas compris dans ses vies précédentes.

 

Notre vie actuelle est donc le résultat ou la conséquence des erreurs que nous avons commises dans notre passé éternel, dans nos vies antérieures.

 

Il n’y a aucun jugement, nous essayons tous, par le biais de l’incarnation, de devenir une âme plus aimante, plus juste, plus tolérante, plus solidaire.

 

Il est regrettable que nous ayons à vivre des expériences parfois fort difficiles ou douloureuses pour y parvenir.

 

Je prendrai juste un exemple pour bien vous faire comprendre de quoi il s’agit.  

 

Pensez à un instant difficile de votre vie.  Qu’est-ce que cette difficulté a changé pour vous ?  Vous êtes plus comment…. ?  Ou moins comment…. ?  Quel(s) bénéfice(s) avez-vous retiré(s) de cette expérience, aussi douloureuse fut-elle ?

 

N’avez-vous pas plus de compassion pour les personnes qui vivent la même expérience que vous ?  En principe, la réponse est oui, parce que vous comprenez mieux que quiconque ce que vit cette personne.

 

C’est en partie cela devenir une meilleure version de soi.

 

Passons maintenant au karma collectif

 

Il existe plusieurs sortes de karmas :

 

·      Le karma avec une personne à qui nous avons fait vivre des expériences difficiles dans notre vie actuelle ou nos vies antérieures,

·      Le karma avec la nature, lorsque nous avons détruit ou pollué la nature,

·      Le karma avec les animaux, lorsque nous avons maltraité ou même torturé des animaux,

·      

 

Qu’est-ce que le karma collectif ?

 

Nous avons pu dans nos vies antérieures (et même dans notre vie actuelle) créer une dette karmique collective en nous associant à d’autres âmes dans des projets peu lumineux.

 

Peut-être dans nos vies antérieures avons-nous participé à l’extermination de peuples, à la torture de certaines personnes, à des guerres, à l’exclusion, à la domination, … qu’en savons-nous ?

 

Et si, à travers la crise que nous vivons, nous étions en train d’équilibrer notre karma collectif ?

 

Comment adoucir notre karma ?

 

Qu’il soit individuel ou collectif, il existe une méthode nous permettant de nettoyer ces anciennes mémoires.

 

Il s’agit de la méthode Ho’oponopono.

 

Cette méthode trouve son origine dans les rituels chamaniques ancestraux.  Elle a été modernisée à Hawaï et s’est répandue dans le monde entier.  Aujourd’hui, nous n’avons bien sûr plus besoin du chaman ; nous pouvons nettoyer nos mémoires karmiques par nous-mêmes.

 

Si vous ne connaissez pas le Ho’oponopono, je vous invite à vous renseigner sur internet.

 

L’idée du Ho’oponopono est tout d’abord de prendre conscience de sa responsabilité dans ce qui arrive.

 

En effet, si nous vivons ce que nous vivons, c’est parce que nous avons besoin de comprendre quelque chose et/ou de corriger les erreurs de notre passé (récent ou lointain), individuel ou collectif.

 

En prenant conscience de nos erreurs passées et en y mettant de la lumière et de l’amour, nous apaisons notre passé et nous modifions notre présent et notre futur.

 

Le Ho’oponopono consiste à répéter, en conscience et avec le cœur, 4 petites phrases : je suis désolé, je te/vous demande pardon, je te/vous remercie, je t’/vous aime.

            

·      Je suis désolé (je n’avais pas la conscience que j’ai aujourd’hui ; je ne savais pas que ce que je faisais n’était pas juste),

 

·      Je te/vous demande pardon (pour le mal que je t’/vous ai fait)

 

·      Je te/vous remercie (car aujourd’hui tu/vous me montrez cette mémoire erronée et me donnez l’opportunité de la nettoyer)

 

·      Je t’/vous aime (c’est l’amour qui va guérir ces blessures)

 

Il n’est pas nécessaire de connaître les détails de nos vies antérieures pour appliquer cette méthode.

 

Il est important de dire ces petites phrases pour soi-même également car nous devons pardonner également à notre Être du passé.

 

Si nous le souhaitons, nous pouvons également allumer une petit bougie ou une neuvaine afin de mettre en lumière ces mémoires.

 

Ce petit rituel est à refaire pendant quelques jours.  Faites-vous confiance sur le nombre de jours nécessaires; il peut être différent pour chacun.

 

Il existe une autre méthode, le new Ho’oponopono du Docteur Bodin.

 

Il s’agit de répéter la phrase suivante, toujours en conscience et avec le cœur : 

 

« Je demande la transmutation divine de toutes les mémoires erronées qui ont conduit à cette situation en mémoires positives pour le vivant ».

 

J’invite donc un maximum de personnes à appliquer la méthode Ho’oponopono ou new Ho’oponopono afin de nettoyer nos mémoires collectives qui ont conduit à la situation que nous connaissons actuellement.

 

Ca ne coûte rien ; ça prend juste quelques minutes pendant quelques jours et plus nous serons nombreux à le faire, plus nous aurons d’impact.

 

N’hésitez donc pas à partager cet article afin d’éveiller les consciences vers plus d’amour et de justesse pour tous.

 

Merci à vous, merci à nous.

 

Sylvie Neffe  

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